Parc de Nara. En début novembre la météo est très clémente et le matin la foule des touristes n'est pas encore trop étouffante.

Les grandes expositions attirent des foules de touristes. Toutes les entrées sont désormais payantes mais les files d'attentes, dès le matin, sont impressionnantes

Les daims du parc de Nara sont presque aussi nombreux que les touristes et peuvent parfois être agressifs: évitez de leur donner à manger ou de les tripoter.

Les fontaines pour les ablutions de purification sont très nombreuses. Daims, vaches, dragons, tortues,  messagers et symboles shinto ou bouddhistes témoigne de votre respect des lieux et des pratiques.

Parfois une cascade se découvre au cœur de la montage et récompense l'effort du voyageur d'une musique qui apaise âme et corps.

S'éloigner des flux de visiteurs et se perdre pour retrouver  paix, recueillement et communion avec la nature.

Dès 9:00 le matin la densité du touriste commence à envahir les sites

Dès la fin de matinée il est préférable de s'éloigner des pistes balisées.

S'éloigner et se gorger des odeurs de l'automne qui arrive.

Quelque part entre Nara et Kyoto, les jardins des prestigieux thé de Uji.

Les lumières changent étonnamment vite, surtout s'il y a un peu de nuage: le paysage rurale devient aussi vivant que peut l'être le paysage marin.

Les kakis, dans les jardins ou dans la nature marquent et symbolisent le début de l'automne au Japon.

Les jardins de thé d'Uji sont bien souvent de petites exploitations familiales qui exigent beaucoup de travail: d'où des prix relativement élevés des productions dans la région, certes, mais des produits remarquables.

Bizarre les ventilateurs dans les jardins de thé ? Il gèle rarement dans la région mais en hivers l'humidité qui peut se former sur les feuillages pourrait se transformer en un givre néfaste : les ventilateur sont déclenchés en cas de basse température et la récolte de printemps sera au top :)

La dernière récolte effectuée, l'automne est le moment de la taille avant l'hiver. Ici rien n'est laissé au hasard et la pratique est fort ancienne (mais pas les ventilateurs hein ? ils ne sont qu'un assurance moderne qui réduit les aléas climatiques)

Nature sanctuarisée. Une pierre, une source, un arbre... une émotion à la fois animale et purement humaine d'humilité devant notre terre mère et nourricière.

Les dragons sont des créatures aquatiques et l'eau est la vie: le dragon est la vie et donc une créature bénéfique.

Kuramadera, ça grimpe bien et seuls les pèlerins et les voyageurs y trouvent leur compte. Les plus fortunés pourront séjourner dans une des belles auberges qui longent le torrent en contrebas du temple et ils pourront y jouir des sources thermales du lieu.

Nyô, lions, chiens, tigres, renards, bouddhistes ou shintos les créature qui gardent les portes semblent émettre les sons du sanscrit A et UM, Ensemble ces deux lettres  forment AUM qui symbolise le commencement et la fin de toute chose.

En s'y prenant assez tôt et malgré d'importants traveaux de rénovation, le site de Kiyomizudera mérite une visite. Attention c'est l'un des temples les plus fréquenté et la petite rue commerçante qui y mène est rapidement surpeuplée.

Les chinois sont innombrables et la location de kimono est désormais une industrie prospère dans les hauts lieux touristiques. Il est parfois difficile de faire la différence entre une vraie et une fausse japonaise mais la pauses ou les comportement sont souvent révélateurs...

Autre site qui mérite la visite : le Kinkakuji, alias le temple du pavillon d'or. Là aussi de préférence tôt le matin pour éviter la foule et profiter des belles lumières.

La Takanogawa est l'affluent de la Kamogawa dans le nord de Kyoto. La pointe de terre entre ces deux rivières offre un espace de promenades et de découvertes très agréables

Le jardin botanique de Kyoto est beau en toutes saisons.

Un jour bénéfique, au détour d'un sanctuaire, la procession d'un mariage traditionnel Shinto.

Initiation Shintoïste pour un groupe de lycéens au cœur du sanctuaire du zodiac chinois.

La randonnée du mont Hiei et du complexe bouddhiste du Enryakuji n'est pas de tout repos mais elle est bien plus gratifiante que de s'y rendre en bus ou avec le train & téléphérique.

Le nord de Kyoto depuis le sentier qui monte vers le mont Hiei.


Au pied du versant Est du mont Hiei, le grand lac Biwa en préfecture de Shiga.

Ville d'Otsu

Partout les Susuki pour les bouquets qui ornent les tokonoma ou accompagnent une cérémonie de thé d'automne.

Au nord de Kyoto, vers Ohara, qui fut un paisible village rural mais désormais très fréquenté par les touristes.

Higashi Honganji, a proximité de la gare de Kyoto est impressionnant par ses dimensions et sa richesse.

Les trains à grande vitesse au Japon son particulièrement efficaces et réguliers. La France a prix énormément de retard dans le domaine depuis le début des privatisation.

Onomichi est une petite ville portuaire face au chapelet d'îles et de ponts qui vont jusqu'à Shikoku. Elle n'a pas encore souffert du tourisme de destruction massive garde un charme fou. A flanc de colline, les ruelles ont à peine changé depuis plus de 100 ans.

Les chats sont aimés et très présents partout dans les ruelles.

D'étranges brocantes...

Un petit ferry fait la liaison avec l'ile de Mukaishima et cela ne prend que quelques minutes.

S'il n'y a pas de pêche industrielle visible il y a beaucoup de petits pêcheurs.

De Onomichi à Imabari (Shikoku), paysages de montagnes, de ponts et de courants marins.

A chaque petit port on trouve un sanctuaire.

A Oshima, ancien refuge des pirates japonais du 16e siècle,  les courants peuvent être impressionnants et exigent un bonne connaissance des flux de marée.

En chemin pour le château de Matsuyama

Petit port de pêche de Matsuyama

Nightscapes

Kochi

Dans tous les temples et les sanctuaires il y a une boutique pour les mamori, les protections et porte-bonheur

Sécurité sur routière, santé, études, amour, affaires, .... ces mamori vous protègent et vous garantissent tous les bonheurs pour une poignée d'euros

Kochi depuis les chemins du pélérinage des 88 temples

Awa Odori dans une allée commerçante de Kochi. Costumes et musique et chorégraphie moderne pour une tradition ancienne

Sur le chemin du grand pélérinage des 88 temples de Shikoku

Le chat de la famille Kitamura... entre le manekineko et le Jizobosatsu, il protège le foyer, éloigne les maladies et prie pour la paix

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